/ Quimper

[Action] Fermes-usines : Greenpeace dénonce la responsabilité de l’Etat en déversant une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère (29)

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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[Entrée de la Préfecture + Intervention des Forces de l'Ordre]

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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[Arrière de la Préfecture]

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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© Micha Patault / Greenpeace

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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© Emmanuelle Pays / Greenpeace

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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© Emmanuelle Pays / Greenpeace

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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© Emmanuelle Pays / Greenpeace

Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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Des activistes de Greenpeace France ont déversé près d’une tonne d’algues vertes devant la préfecture du Finistère à Quimper pour dénoncer la responsabilité de l’État face à la prolifération des algues vertes sur le littoral breton, due à l’élevage industriel et à l’essor des fermes-usines sur ce territoire. Greenpeace exige un moratoire sur la construction et l’agrandissement de ces méga-exploitations d’élevage.

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© Fabrizio Tommasini / Greenpeace

La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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© Fabrizio Tommasini / Greenpeace

La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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© Fabrizio Tommasini / Greenpeace

La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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© Fabrizio Tommasini / Greenpeace

La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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© Fabrizio Tommasini / Greenpeace

La prolifération d’algues vertes sur les côtes bretonnes est directement liée à l’industrialisation de l’élevage : les élevages industriels, en raison du nombre trop important d’animaux qu’ils comportent, répandent de fortes quantités d’azote sur les sols, qui se transforment en nitrates dans les rivières et cours d’eau. Cette concentration excessive de nitrates génère ces algues vertes, et leur décomposition dégage un gaz extrêmement toxique, pouvant être mortel pour l’homme en quelques minutes d’inhalation : l’hydrogène sulfuré (H2S).

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