/ Flamanville

[Action Greenpeace] Intrusion et blocage du chantier de l’EPR de Flamanville

Ce matin, à 5h30, les militants et militantes de Greenpeace France, dont Jean-François Julliard le directeur général de Greenpeace France, se sont introduits et ont occupé le chantier de l’EPR à Flamanville pour dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidat·es à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire.

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Bout à bout vidéo et prise de parole de Nicolas Nace, Chargé de campagne Transition Énergétique pour Greenpeace France

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A l’intérieur du site, des activistes se sont postés à quelques dizaines de mètres du bâtiment réacteur pour dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidat-es à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire.

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A l’intérieur du site, des activistes se sont postés à quelques dizaines de mètres du bâtiment réacteur pour dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidat-es à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire.

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A l’intérieur du site, des activistes se sont postés à quelques dizaines de mètres du bâtiment réacteur pour dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidat-es à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire.

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© Jérémie Jung / Greenpeace

Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage.

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Les militants et militantes de Greenpeace France occupent le chantier de l’EPR à Flamanville pour dénoncer la volonté d’Emmanuel Macron et d’autres candidat-es à l’élection présidentielle de construire de nouveaux réacteurs EPR, au mépris des risques et des incertitudes liés au nucléaire.

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© Jeremie Jung / Greenpeace

Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage.

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Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage.

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Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage.

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© Jérémie Jung / Greenpeace

Un camion affichant « Nucléaire : Macron irresponsable » et « + d’EPR = + de fiascos » bloque l’entrée du chantier et deux activistes y sont accrochés.

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Un camion affichant « Nucléaire : Macron irresponsable » et « + d’EPR = + de fiascos » bloque l’entrée du chantier et deux activistes y sont accrochés.

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Des activistes de Greenpeace France et un camion affichant « Nucléaire : Macron irresponsable » et « + d’EPR = + de fiascos » bloquent l’entrée du chantier.

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Des activistes de Greenpeace France et un camion affichant « Nucléaire : Macron irresponsable » et « + d’EPR = + de fiascos » bloquent l’entrée du chantier.

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Un camion affichant « Nucléaire : Macron irresponsable » et « + d’EPR = + de fiascos » bloque une entrée du chantier et deux activistes y sont accrochés. Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage de la deuxième entrée.

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Deux structures en métal de 5 mètres de haut auxquels sont suspendus deux grimpeurs de Greenpeace, pourvus de banderoles « Pour la paix, ni fossiles, ni nucléaire » empêchent le passage.

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Communiqué de presse

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